Laure Corminbœuf présente l’exposition “Un an à Bali”. En quelques mots :
“Ce qui m’a le plus touché dans mon voyage là-bas c’est cette rencontre entre la beauté incroyable des paysages et ce chaos constant lié à une modernisation beaucoup trop rapide et incontrôlable de l’île. Impossible d’apprécier un coucher de soleil sans une grue ou des câbles électriques qui bloquent la vue. Il y aura toujours un scooter. Il y aura toujours un camion de cargaison sur le chemin. Il y aura toujours des sacs en plastique sur le sol. C’est sale, c’est bruyant mais c’est infiniment beau et pur. Cela vous coupera toujours le souffle, que ce soit à cause de la beauté de ses scènes ou de ses émissions de gaz de pot d’échappement. Pour moi, c’est ça la magie de Bali.”